La Fédération de Triathlon du Québec est à la recherche d’un coordonnateur technique pour une entrée en poste dès le 15 octobre prochain. Vous aimez les défis, vous êtes pro-actif et à l’écoute, vous voulez travailler en équipe dans une niche en plein développement qui contribue à la fois au développement des saines habitudes de vie, au développement de l’excellence et au support aux évènements? Vous êtes prêts à vous engager dans le développement de nouveaux projets avec passion et plaisir? Ce poste est peut-être pour vous!

Voyez ici le détail de l’offre.

Cette année, les championnats du monde de duathlon auront lieu en terre française, à Nancy, les 22 et 23 septembre 2012.

Rappelons que le duathlon est sanctionné par l’Union internationale de Triathlon (ITU) et au Québec par Triathlon Québec. Il compte de nombreux adeptes au Québec et à travers le monde. Le duathlon combine la course à pied, le vélo et à nouveau la course à pied. La distance de référence à ces mondiaux est, dans l’ordre, 10 km de course, 40km de vélo et 5 km de course. La gestion de course est différente de celle d’une épreuve de triathlon à cause, notamment, des sensations d’enchaînement du vélo après une première course à pied. Le dernier 5 km reste aussi un défi de taille si on veut le courir vite. Pour ceux dont les forces sont davantage orientées vers le vélo et la course à pied et qui veulent se distinguer avec de meilleures performances, pour ceux dont la natation reste un « talon d’Achille » et que les vagues ou les requins poursuivent sans arrêt, pour ceux qui sont blessés à l’épaule ou pour bien d’autres raison, le duathlon reste une pratique résolument « triathlonnienne ». Le duathlon, c’est aussi pour quelques-uns une première étape vers le premier triathlon et il offre toujours un défi de taille et reste très compétitif.

Nous vous présentons une série de portraits réalisés par notre championne, triathlète et duathlète, Peggy Labonté. Portraits qui mettent en perspective les adeptes d’une pratique qui roule souvent dans l’ombre et qu’il nous fait plaisir de mettre en lumière.

Nom : Jonathan Tremblay

Âge : J’aurai 30 ans en octobre prochain

Catégorie: 30 – 34 ans

Club: Club Endurance du Fjord Saguenay

Occupation : Enseignant en biologie au Cégep de Chicoutimi

 

1. Depuis combien de temps pratiquez-vous le duathlon? 5 ans

 

2. Pourquoi avez-vous commencé à faire ce sport? Je faisais des compétitions en course à pied et en vélo séparément et je performais bien. En plus, j’aimais ça. J’ai donc décidé d’essayer de combiner les deux disciplines et ça s’est avéré être encore plus agréable.

 

3. Est-ce que c’est votre première participation aux championnats mondiaux de duathlon?

Ce seront mes 4e championnats mondiaux.

 

4. Quels sont vos objectifs pour les championnats mondiaux de duathlon 2012? Terminer au moins dans les 10 premiers de ma catégorie (comme l’an dernier) et si je pouvais faire un top 5, ce serait génial.

 

5. Quels sports ou quelles activités pratiquiez-vous avant de faire du duathlon? Vélo de route et de montagne, course à pied, hockey et ski de fond.

 

6. Épreuve préférée parmi les 2 sports: J’aime autant les deux.

 

7. Nombre d’heures d’entraînement par semaine : L’été mes congés me permettent de faire entre 15 et 20 heures. En période de travail, c’est environ 10 heures.

 

8. Qu’est-ce qui est le plus difficile dans une compétition de duathlon? Gérer son effort (fournir le meilleur effort possible sur deux heures et un effort constant) et gérer les crampes aux mollets et aux cuisses qui peuvent vraiment incommoder. Les bas de compression m’ont vraiment aidé à ce niveau (crampes).

 

9. Où allez-vous chercher la motivation pour faire ce genre d’entraînement? J’aime être en forme et paraitre en santé. J’aime aussi être en mesure de donner le maximum de moi-même et pouvoir me comparer avec d’autres compétiteurs.

 

10. Prévoyez-vous participer aux championnats mondiaux de duathlon qui auront lieu à Ottawa en 2013? Oui, je suis déjà inscrit. J’aimerais beaucoup participer chez les Élites, une année. Je pense que si j’améliore encore un peu ma course à pied, je pourrais en être capable.


Cette année, les championnats du monde de duathlon auront lieu en terre française, à Nancy, les 22 et 23 septembre 2012.

Rappelons que le duathlon est sanctionné par l’Union internationale de Triathlon (ITU) et au Québec par Triathlon Québec. Il compte de nombreux adeptes au Québec et à travers le monde. Le duathlon combine la course à pied, le vélo et à nouveau la course à pied. La distance de référence à ces mondiaux est, dans l’ordre, 10 km de course, 40km de vélo et 5 km de course. La gestion de course est différente de celle d’une épreuve de triathlon à cause, notamment, des sensations d’enchaînement du vélo après une première course à pied. Le dernier 5 km reste aussi un défi de taille si on veut le courir vite. Pour ceux dont les forces sont davantage orientées vers le vélo et la course à pied et qui veulent se distinguer avec de meilleures performances, pour ceux dont la natation reste un « talon d’Achille » et que les vagues ou les requins poursuivent sans arrêt, pour ceux qui sont blessés à l’épaule ou pour bien d’autres raison, le duathlon reste une pratique résolument « triathlonnienne ». Le duathlon, c’est aussi pour quelques-uns une première étape vers le premier triathlon et il offre toujours un défi de taille et reste très compétitif.

Nous vous présentons une série de portraits réalisés par notre championne, triathlète et duathlète, Peggy Labonté. Portraits qui mettent en perspective les adeptes d’une pratique qui roule souvent dans l’ombre et qu’il nous fait plaisir de mettre en lumière.

Nom : Sylvie Charest

Âge : 40

Catégorie: 40-44 ans

Club: Peak Performance de Montréal avec Mathieu Sauvé.

Occupation : secrétaire médicale

 

1. Depuis combien de temps pratiquez-vous le duathlon?

1997 donc plus de 15 ans.

 

2. Pourquoi avez-vous commencé à faire ce sport?

Parce que j’adore la course à pied.

 

3. Est-ce que c’est votre première participation aux championnats mondiaux de duathlon?

Ce sont mes troisièmes mondiaux en duathlon.  J’ai fait Concord USA, Edinburgh Écosse et ferai Nancy France en septembre 2012.

 

4. Quels sont vos objectifs pour les championnats mondiaux de duathlon 2012?

J’aimerais finir top 5 mondial dans mon groupe d’âge.

 

5. Quels sports ou quelles activités pratiquiez-vous avant de faire du duathlon?

La course à pied et le cross-country au 3 km et 5 km.

 

6. Épreuve préférée parmi les 2 sports?

La course à pied j’ai comme un sentiment de liberté.

 

7. Nombre d’heures d’entraînement par semaine?

6 et 9 heures d’entraînement par semaine.

 

8. Qu’est-ce qui est le plus difficile dans une compétition de duathlon?

C’est la dernière portion de course à pied, car la fatigue musculaire est à son maximum.

 

9. Où allez-vous chercher la motivation pour faire ce genre d’entraînement?

Ma motivation de tous les jours est de bien faire mes devoirs et bien m’entraîner pour un jour, aller chercher une médaille d’or aux mondiaux de duathlon.

 

10. Prévoyez-vous participer aux championnats mondiaux de duathlon qui auront lieu à Ottawa en 2013?

Oui j’ai eu ma qualification en juillet dernier à Magog, donc je fais partie de l’équipe Canadienne de 2013 pour
Ottawa Canada.

Cette année, les championnats du monde de duathlon auront lieu en terre française, à Nancy, les 22 et 23 septembre 2012.

Rappelons que le duathlon est sanctionné par l’Union internationale de Triathlon (ITU) et au Québec par Triathlon Québec. Il compte de nombreux adeptes au Québec et à travers le monde. Le duathlon combine la course à pied, le vélo et à nouveau la course à pied. La distance de référence à ces mondiaux est, dans l’ordre, 10 km de course, 40km de vélo et 5 km de course. La gestion de course est différente de celle d’une épreuve de triathlon à cause, notamment, des sensations d’enchaînement du vélo après une première course à pied. Le dernier 5 km reste aussi un défi de taille si on veut le courir vite. Pour ceux dont les forces sont davantage orientées vers le vélo et la course à pied et qui veulent se distinguer avec de meilleures performances, pour ceux dont la natation reste un « talon d’Achille » et que les vagues ou les requins poursuivent sans arrêt, pour ceux qui sont blessés à l’épaule ou pour bien d’autres raison, le duathlon reste une pratique résolument « triathlonnienne ». Le duathlon, c’est aussi pour quelques-uns une première étape vers le premier triathlon et il offre toujours un défi de taille et reste très compétitif.

Nous vous présentons une série de portraits réalisés par notre championne, triathlète et duathlète, Peggy Labonté. Portraits qui mettent en perspective les adeptes d’une pratique qui roule souvent dans l’ombre et qu’il nous fait plaisir de mettre en lumière.

Nom : François Lefebvre

Âge : 45 ans (au 31 décembre 2012)

Catégorie: 45-49 ans

Club: Mathieu Sauvé/Centre Peak Performance et Dorys Langlois/club de course MAA

Occupation : Gestionnaire de projet – Finances

 

1. Depuis combien de temps pratiquez-vous le duathlon?

J’ai initialement découvert ce sport vers la fin des années 80, donc il y a 23 ans, alors que le triathlon et le duathlon prenaient leur essor au Québec. Après une longue pause, j’ai repris le duathlon de façon assidue en 2009, soit depuis 3 ans.

 

2. Pourquoi avez-vous commencé à faire ce sport?

En 2009, c’était principalement pour retrouver la forme et pour me préparer à un retour au triathlon. J’ai un faible pour le duathlon, alors je continue à pratiquer cette discipline qui est, à mon avis plus difficile que le triathlon sur la plan physiologique. La sensation de repousser ses limites, pour ne pas dire la sensation de douleur, est à son comble lors du deuxième segment de course à pied.

 

3. Est-ce que c’est votre première participation aux championnats mondiaux de duathlon?

Les Championnats Mondiaux de Nancy seront ma deuxième expérience, la première étant celle des Mondiaux de Gijón en 2011.

 

4. Quels sont vos objectifs pour les championnats mondiaux de duathlon 2012?

Et bien, cette année, j’aimerais d’abord et avant tout mettre le « focus » sur ce que je peux contrôler, soit exécuter mon plan de course à la perfection, afin de sortir le meilleur de moi-même. Je veux finir la course et savoir que je n’aurai rien laissé sur la table. Je ne connais pas les autres concurrents et je ne sais pas ce dont ils seront capables. Donc, pour ce qui est des résultats, c’est un peu difficile à prévoir. Un top 10? Un podium? Tout est possible! 

 

5. Quels sports ou quelles activités pratiquiez-vous avant de faire du duathlon?

La liste est un peu longue… Étant jeune, je pratiquais de façon compétitive l’escrime et l’aviron, et de façon récréative, le vélo de randonnée et le ski de fond. Je me suis ensuite consacré pendant plusieurs années au Pentathlon militaire pendant que j’étais membre de l’équipe de l’Armée Canadienne. Le triathlon et le duathlon me servaient de “cross-training”. Je me suis aussi adonné à la course à pied sur route dans les dernières années. J’aime bien me tester sur différentes distances durant l’année, soit  le marathon, demi-marathon, 10 et 5 km.

 

6. Épreuve préférée parmi les 2 sports:

Le duathlon pour moi est un sport entier dans lequel on ne peut dissocier les épreuves. Elles sont soudées par des transitions qui font de cette discipline une expérience entière et unique. Je n’approche pas une portion de course à pied de duathlon de la même façon qu’une course sur route de 10 km. Il en va de même pour le vélo. C’est cette complexité que j’affectionne, et la joie de faire les deux ensembles. Mais ce qui est encore plus précieux, c’est le mode de vie que je dois adopter en dehors des courses pour m’y préparer. Un style de vie qui vaut tout l’or du monde!

 

7. Nombre d’heures d’entraînement par semaine :

Entre 6 et 20 heures par semaine, dépendant des cycles d’entraînement.

 

8. Qu’est-ce qui est le plus difficile dans une compétition de duathlon?

Quand on le fait à fond, je crois que le plus difficile est le choc et la violence des transitions. Les jambes sont toujours sollicitées dans les trois segments de l’épreuve, mais de façon très différente. Ce n’est pas comme un triathlon, il faut le vivre pour comprendre et je vous mets au défi de l’essayer si ce n’est déjà fait!

 

9. Où allez-vous chercher la motivation pour faire ce genre d’entraînement?

J’ai plusieurs sources de motivation. La principale serait par souci de santé pour être là encore longtemps pour mes deux filles. Cela me motive aussi de les voir adopter des comportements semblables aux miens. Bien manger, aimer bouger, être actives, s’accomplir à travers leur sport. Lors de passage un peu plus difficile, je me remémore la chance que j’ai de pouvoir être en vie et surtout en santé contrairement à d’autres qui se battent contre la maladie ou ceux qui nous ont quitté. Vivre pleinement, parce qu’on le peut! La personne qui m’inspire le plus est sans contredit Pierre Lavoie et son message que je tente le plus possible d’appliquer.   

 

10. Prévoyez-vous participer aux championnats mondiaux de duathlon qui auront lieu à Ottawa en 2013?

Oui je veux prendre part à ce grand rendez-vous. J’espère que notre contingent sera nombreux et de qualité afin que l’on soit bien représenté, ici chez nous!


Le 30 septembre prochain, le club de triathlon Trianord organise une course à pied, en foret, à Val Morin. La course fait partie de la plus grosse série provinciale de Course en foret. Vous pouvez voir tous les détails sur la série au www.coursesenforet.com.

L’essayer, c’est l’adopter!

Cette année, les championnats du monde de duathlon auront lieu en terre française, à Nancy, les 22 et 23 septembre 2012.

Rappelons que le duathlon est sanctionné par l’Union internationale de Triathlon (ITU) et au Québec par Triathlon Québec. Il compte de nombreux adeptes au Québec et à travers le monde. Le duathlon combine la course à pied, le vélo et à nouveau la course à pied. La distance de référence à ces mondiaux est, dans l’ordre, 10 km de course, 40km de vélo et 5 km de course. La gestion de course est différente de celle d’une épreuve de triathlon à cause, notamment, des sensations d’enchaînement du vélo après une première course à pied. Le dernier 5 km reste aussi un défi de taille si on veut le courir vite. Pour ceux dont les forces sont davantage orientées vers le vélo et la course à pied et qui veulent se distinguer avec de meilleures performances, pour ceux dont la natation reste un « talon d’Achille » et que les vagues ou les requins poursuivent sans arrêt, pour ceux qui sont blessés à l’épaule ou pour bien d’autres raison, le duathlon reste une pratique résolument « triathlonnienne ». Le duathlon, c’est aussi pour quelques-uns une première étape vers le premier triathlon et il offre toujours un défi de taille et reste très compétitif.

Nous vous présentons une série de portraits réalisés par notre championne, triathlète et duathlète, Peggy Labonté. Portraits qui mettent en perspective les adeptes d’une pratique qui roule souvent dans l’ombre et qu’il nous fait plaisir de mettre en lumière.

Nom : Marie-Michèle Paré

Âge : 34

Catégorie: Groupe d’âge

Club: Aucun pour le moment, mais Mathieu Sauvé de Peak Centre Performance a été mon entraîneur l’an dernier.

Occupation : Médecin vétérinaire

 

1. Depuis combien de temps pratiquez-vous le duathlon? Premier duathlon (Do-A-Du!) en juillet 2009, donc 3 ans.

 

2. Pourquoi avez-vous commencé à faire ce sport? Mon conjoint pratiquait le duathlon et m’a incité à essayer.  Une seule course et j’avais la piqûre!

 

 

3. Est-ce que c’est votre première participation aux championnats mondiaux de duathlon? Nancy sera ma deuxième participation aux championnats du monde.  Ma première a été à Gijon en Espagne en 2011. Une expérience mémorable!

 

4. Quels sont vos objectifs pour les championnats mondiaux de duathlon 2012? Améliorer ma position par rapport aux mondiaux de 2011.  J’espère un « top 10 » dans ma catégorie d’âge et terminer première canadienne.

 

5. Quels sports ou quelles activités pratiquiez-vous avant de faire du duathlon? Avant mon premier duathlon, je ne faisais pas de sports compétitifs, je pratiquais de façon récréative le vélo de route et faisait un peu de course à pied.  Je faisais et fais encore un peu de ski de fond.

 

6. Épreuve préférée parmi les 2 sports: Le vélo!!  La course à pied… c’est difficile et ça fait mal! ;0)  J’adore le vélo.  En vélo, je m’amuse et peu importe l’entraînement, je suis toujours prête à faire du vélo.

 

7. Nombre d’heures d’entraînement par semaine : Entre 8 et 12 heures, selon les périodes de l’année.

 

8. Qu’est-ce qui est le plus difficile dans une compétition de duathlon? La première course à pied est toujours le moment le plus difficile pour moi.  Une fois cette étape passée, je commence à m’amuser!  Physiquement, le plus difficile est la transition de la course au vélo…  les premiers kilomètres de vélo sont toujours douloureux du point de vue musculaire.

 

9. Où allez-vous chercher la motivation pour faire ce genre d’entraînement? Le désir de toujours m’améliorer et de pouvoir dire que j’ai tout donné…  que ce soit pour un simple entraînement ou pour une course de grande importance.  La satisfaction est grande quand on dépasse ses propres limites.

 

10. Prévoyez-vous participer aux championnats mondiaux de duathlon qui auront lieu à Ottawa en 2013? Je suis qualifiée pour les mondiaux de 2013… l’avenir dira si j’y serai ou non!


Cette année, les championnats du monde de duathlon auront lieu en terre française, à Nancy, les 22 et 23 septembre 2012.

Rappelons que le duathlon est sanctionné par l’Union internationale de Triathlon (ITU) et au Québec par Triathlon Québec. Il compte de nombreux adeptes au Québec et à travers le monde. Le duathlon combine la course à pied, le vélo et à nouveau la course à pied. La distance de référence à ces mondiaux est, dans l’ordre, 10 km de course, 40km de vélo et 5 km de course. La gestion de course est différente de celle d’une épreuve de triathlon à cause, notamment, des sensations d’enchaînement du vélo après une première course à pied. Le dernier 5 km reste aussi un défi de taille si on veut le courir vite. Pour ceux dont les forces sont davantage orientées vers le vélo et la course à pied et qui veulent se distinguer avec de meilleures performances, pour ceux dont la natation reste un “talon d’Achille” et que les vagues ou les requins poursuivent sans arrêt, pour ceux qui sont blessés à l’épaule ou pour bien d’autres raison, le duathlon reste une pratique résolument “triathlonnienne”. Le duathlon, c’est aussi pour quelques-uns une première étape vers le premier triathlon et il offre toujours un défi de taille et reste très compétitif.

Nous vous présentons une série de portraits réalisés par notre championne, triathlète et duathlète, Peggy Labonté. Portraits qui mettent en perspective les adeptes d’une pratique qui roule souvent dans l’ombre et qu’il nous fait plaisir de mettre en lumière.

Nom : Mathieu Moreau

Âge : 29

Catégorie: Groupe d’âge 25-29

Club: Svartman Coaching

Occupation : Comptable

 

1. Depuis combien de temps pratiquez-vous le duathlon? Environ 5 ans.

 

2. Pourquoi avez-vous commencé à faire ce sport? Cycliste sur route depuis mon tout jeune âge, je commençais à être un peu tanné des risques de chute en compétition.  Alors, j’ai connu le duathlon, qui est plus sécuritaire et qui permet de diversifier davantage l’entrainement.

 

3. Est-ce que c’est votre première participation aux championnats mondiaux de duathlon? Ce sera ma 2e participation aux mondiaux, après ceux de 2009 à Concord en Caroline du Nord.

 

4. Quels sont vos objectifs pour les championnats mondiaux de duathlon 2012? Un top 15 dans mon groupe d’âge serait très satisfaisant.

 

5. Quels sports ou quelles activités pratiquiez-vous avant de faire du duathlon? Tel que mentionné précédemment, j’ai fait de la compétition de vélo de route pendant plusieurs années. J’ai également joué au tennis et fait plusieurs autres sports pour le plaisir.

 

6. Épreuve préférée parmi les 2 sports: Simplement plus à l’aise sur un vélo alors je choisis celle-ci!

 

7. Nombre d’heures d’entraînement par semaine : Environ 10 à 12 heures par semaine.

 

8. Qu’est-ce qui est le plus difficile dans une compétition de duathlon? Étant seul avec nous même, la gestion de l’effort n’est pas toujours évidente, alors il faut bien connaître nos capacités. Également, les fameuses transitions demeurent un défi en soi…il faut les pratiquer beaucoup!

 

9. Où allez-vous chercher la motivation pour faire ce genre d’entraînement? Je m’entraine d’abord pour avoir une bonne condition physique et être en santé. Je sais que le corps humain a de grandes capacités et j’adore le tester continuellement pour repousser ses limites!

 

10. Prévoyez-vous participer aux championnats mondiaux de duathlon qui auront lieu à Ottawa en 2013? Malheureusement non! J’ai été contraint à l’abandon lors des qualifications en raison d’une blessure au tendon d’Achille.


Le club de triathlon de l’Université Laval (Rouge et Or) l’un des plus importants clubs de triathlon au Canada, est à la recherche d’un (e):

ENTRAINEUR(E)-CHEF TRIATHLON

Le club de triathlon de l’Université Laval (Rouge et Or) vise l’excellence au profit du développement et du dépassement des triathlètes. Ainsi l’entraineur-chef, avec une équipe d’entraineurs-adjoints, devra :

–         Accompagner les athlètes universitaires et civils dans leurs entrainements et leurs compétitions. Des programmes d’entrainement devront être adaptés aussi bien aux athlètes élites qu’aux athlètes des groupes d’âge de courte et longue distance.

–         Poursuivre le développement du programme sports-études triathlon (École secondaire Cardinal-Roy) afin d’en assurer la pérennité.

–         S’assurer de l’organisation des activités sportives du club, tels que le triathlon de Québec, l’aquathlon et le triathlon corporatif.

–          S’assurer de la saine gestion administrative du club. À ce titre, il doit notamment coordonner les tâches administratives.

–         Participer aux activités de financement organisées par le service des activités sportives de l’Université Laval (S.A.S.) ou par le club et impliquer les étudiants-athlètes au besoin. Doit également acheminer au C.A. toute offre de commandite et participer à la gestion des commandites.

–         Participer aux activités destinées aux entraîneurs telles que : réunions, formations, rencontres individuelles avec le S.A.S. et  autres activités connexes et essentielles.

–         Poursuivre le rayonnement et la notoriété de l’affiliation du club à l’Université Laval (Rouge et Or). Dans ce cadre, soutenir le développement d’un réseau universitaire québécois.

 Le candidat recherché doit:

–         Posséder un diplôme universitaire en kinésiologie, en éducation physique, en intervention sportive ou une autre discipline de la santé pertinente.

–         Posséder un niveau d’entraineur reconnu avec une expérience minimale de cinq(5) années.

–         Être reconnu pour son leadership et ses habiletés sur le plan des communications interpersonnelles.

–         Être reconnu pour sa capacité à motiver les athlètes

–         Avoir un bon sens de l’organisation.

Vous devez faire parvenir votre CV à mdelamarre@videotron.ca au plus tard le 26 septembre 13h.

Ce matin, l’équipe du Grand défi Pierre Lavoie dévoilait la vidéo officielle du 1000 km édition 2012. Chez Triathlon Québec, nous adhérons aux valeurs véhiculées par cet évènement unique qui vise à développer de saines habitudes de vie et à promouvoir la persévérance scolaire chez les enfants. C’est donc un plaisir pour nous  de vous partager cette magnifique vidéo.

À voir absoluement!

Le 1000 km du Grand défi Pierre Lavoie édition 2012

Voyez l’album photo de l’événement et les reportages de Radio-Canada, TVA Sports et autres!

Voilà, la saison québécoise de triathlon est terminée. Une superbe saison! Nous allons continuer de vous tenir au courant de l’actualité québécoise en triathlon tout au long de l’année. À venir votre gala le 3 novembre prochain (plus de détails suivront). Nous allons vous préparer une saison 2013 avec des changements et encore plus d’événements! Longue vie au triathlon, aux triathlètes et à Triathlon Québec!! Et merci à tous pour votre implication précieuse et vos contributions pour nous aider à développer ce sport en pleine évolution. Notre impact se répercute notamment au niveau des jeunes et moins jeunes qui aiment les défis et veulent adopter de meilleures habitudes de vie. Faites-nous parvenir vos témoignages, faites-nous part de vos idées, et impliquez-vous auprès de vos clubs respectifs, de vos proches et au sein de votre fédération!