Cette année, les championnats du monde de duathlon auront lieu en terre française, à Nancy, les 22 et 23 septembre 2012.

Rappelons que le duathlon est sanctionné par l’Union internationale de Triathlon (ITU) et au Québec par Triathlon Québec. Il compte de nombreux adeptes au Québec et à travers le monde. Le duathlon combine la course à pied, le vélo et à nouveau la course à pied. La distance de référence à ces mondiaux est, dans l’ordre, 10 km de course, 40km de vélo et 5 km de course. La gestion de course est différente de celle d’une épreuve de triathlon à cause, notamment, des sensations d’enchaînement du vélo après une première course à pied. Le dernier 5 km reste aussi un défi de taille si on veut le courir vite. Pour ceux dont les forces sont davantage orientées vers le vélo et la course à pied et qui veulent se distinguer avec de meilleures performances, pour ceux dont la natation reste un « talon d’Achille » et que les vagues ou les requins poursuivent sans arrêt, pour ceux qui sont blessés à l’épaule ou pour bien d’autres raison, le duathlon reste une pratique résolument « triathlonnienne ». Le duathlon, c’est aussi pour quelques-uns une première étape vers le premier triathlon et il offre toujours un défi de taille et reste très compétitif.

Nous vous présentons une série de portraits réalisés par notre championne, triathlète et duathlète, Peggy Labonté. Portraits qui mettent en perspective les adeptes d’une pratique qui roule souvent dans l’ombre et qu’il nous fait plaisir de mettre en lumière.

Nom : Jonathan Tremblay

Âge : J’aurai 30 ans en octobre prochain

Catégorie: 30 – 34 ans

Club: Club Endurance du Fjord Saguenay

Occupation : Enseignant en biologie au Cégep de Chicoutimi

 

1. Depuis combien de temps pratiquez-vous le duathlon? 5 ans

 

2. Pourquoi avez-vous commencé à faire ce sport? Je faisais des compétitions en course à pied et en vélo séparément et je performais bien. En plus, j’aimais ça. J’ai donc décidé d’essayer de combiner les deux disciplines et ça s’est avéré être encore plus agréable.

 

3. Est-ce que c’est votre première participation aux championnats mondiaux de duathlon?

Ce seront mes 4e championnats mondiaux.

 

4. Quels sont vos objectifs pour les championnats mondiaux de duathlon 2012? Terminer au moins dans les 10 premiers de ma catégorie (comme l’an dernier) et si je pouvais faire un top 5, ce serait génial.

 

5. Quels sports ou quelles activités pratiquiez-vous avant de faire du duathlon? Vélo de route et de montagne, course à pied, hockey et ski de fond.

 

6. Épreuve préférée parmi les 2 sports: J’aime autant les deux.

 

7. Nombre d’heures d’entraînement par semaine : L’été mes congés me permettent de faire entre 15 et 20 heures. En période de travail, c’est environ 10 heures.

 

8. Qu’est-ce qui est le plus difficile dans une compétition de duathlon? Gérer son effort (fournir le meilleur effort possible sur deux heures et un effort constant) et gérer les crampes aux mollets et aux cuisses qui peuvent vraiment incommoder. Les bas de compression m’ont vraiment aidé à ce niveau (crampes).

 

9. Où allez-vous chercher la motivation pour faire ce genre d’entraînement? J’aime être en forme et paraitre en santé. J’aime aussi être en mesure de donner le maximum de moi-même et pouvoir me comparer avec d’autres compétiteurs.

 

10. Prévoyez-vous participer aux championnats mondiaux de duathlon qui auront lieu à Ottawa en 2013? Oui, je suis déjà inscrit. J’aimerais beaucoup participer chez les Élites, une année. Je pense que si j’améliore encore un peu ma course à pied, je pourrais en être capable.


Cette année, les championnats du monde de duathlon auront lieu en terre française, à Nancy, les 22 et 23 septembre 2012.

Rappelons que le duathlon est sanctionné par l’Union internationale de Triathlon (ITU) et au Québec par Triathlon Québec. Il compte de nombreux adeptes au Québec et à travers le monde. Le duathlon combine la course à pied, le vélo et à nouveau la course à pied. La distance de référence à ces mondiaux est, dans l’ordre, 10 km de course, 40km de vélo et 5 km de course. La gestion de course est différente de celle d’une épreuve de triathlon à cause, notamment, des sensations d’enchaînement du vélo après une première course à pied. Le dernier 5 km reste aussi un défi de taille si on veut le courir vite. Pour ceux dont les forces sont davantage orientées vers le vélo et la course à pied et qui veulent se distinguer avec de meilleures performances, pour ceux dont la natation reste un « talon d’Achille » et que les vagues ou les requins poursuivent sans arrêt, pour ceux qui sont blessés à l’épaule ou pour bien d’autres raison, le duathlon reste une pratique résolument « triathlonnienne ». Le duathlon, c’est aussi pour quelques-uns une première étape vers le premier triathlon et il offre toujours un défi de taille et reste très compétitif.

Nous vous présentons une série de portraits réalisés par notre championne, triathlète et duathlète, Peggy Labonté. Portraits qui mettent en perspective les adeptes d’une pratique qui roule souvent dans l’ombre et qu’il nous fait plaisir de mettre en lumière.

Nom : Sylvie Charest

Âge : 40

Catégorie: 40-44 ans

Club: Peak Performance de Montréal avec Mathieu Sauvé.

Occupation : secrétaire médicale

 

1. Depuis combien de temps pratiquez-vous le duathlon?

1997 donc plus de 15 ans.

 

2. Pourquoi avez-vous commencé à faire ce sport?

Parce que j’adore la course à pied.

 

3. Est-ce que c’est votre première participation aux championnats mondiaux de duathlon?

Ce sont mes troisièmes mondiaux en duathlon.  J’ai fait Concord USA, Edinburgh Écosse et ferai Nancy France en septembre 2012.

 

4. Quels sont vos objectifs pour les championnats mondiaux de duathlon 2012?

J’aimerais finir top 5 mondial dans mon groupe d’âge.

 

5. Quels sports ou quelles activités pratiquiez-vous avant de faire du duathlon?

La course à pied et le cross-country au 3 km et 5 km.

 

6. Épreuve préférée parmi les 2 sports?

La course à pied j’ai comme un sentiment de liberté.

 

7. Nombre d’heures d’entraînement par semaine?

6 et 9 heures d’entraînement par semaine.

 

8. Qu’est-ce qui est le plus difficile dans une compétition de duathlon?

C’est la dernière portion de course à pied, car la fatigue musculaire est à son maximum.

 

9. Où allez-vous chercher la motivation pour faire ce genre d’entraînement?

Ma motivation de tous les jours est de bien faire mes devoirs et bien m’entraîner pour un jour, aller chercher une médaille d’or aux mondiaux de duathlon.

 

10. Prévoyez-vous participer aux championnats mondiaux de duathlon qui auront lieu à Ottawa en 2013?

Oui j’ai eu ma qualification en juillet dernier à Magog, donc je fais partie de l’équipe Canadienne de 2013 pour
Ottawa Canada.

Cette année, les championnats du monde de duathlon auront lieu en terre française, à Nancy, les 22 et 23 septembre 2012.

Rappelons que le duathlon est sanctionné par l’Union internationale de Triathlon (ITU) et au Québec par Triathlon Québec. Il compte de nombreux adeptes au Québec et à travers le monde. Le duathlon combine la course à pied, le vélo et à nouveau la course à pied. La distance de référence à ces mondiaux est, dans l’ordre, 10 km de course, 40km de vélo et 5 km de course. La gestion de course est différente de celle d’une épreuve de triathlon à cause, notamment, des sensations d’enchaînement du vélo après une première course à pied. Le dernier 5 km reste aussi un défi de taille si on veut le courir vite. Pour ceux dont les forces sont davantage orientées vers le vélo et la course à pied et qui veulent se distinguer avec de meilleures performances, pour ceux dont la natation reste un « talon d’Achille » et que les vagues ou les requins poursuivent sans arrêt, pour ceux qui sont blessés à l’épaule ou pour bien d’autres raison, le duathlon reste une pratique résolument « triathlonnienne ». Le duathlon, c’est aussi pour quelques-uns une première étape vers le premier triathlon et il offre toujours un défi de taille et reste très compétitif.

Nous vous présentons une série de portraits réalisés par notre championne, triathlète et duathlète, Peggy Labonté. Portraits qui mettent en perspective les adeptes d’une pratique qui roule souvent dans l’ombre et qu’il nous fait plaisir de mettre en lumière.

Nom : François Lefebvre

Âge : 45 ans (au 31 décembre 2012)

Catégorie: 45-49 ans

Club: Mathieu Sauvé/Centre Peak Performance et Dorys Langlois/club de course MAA

Occupation : Gestionnaire de projet – Finances

 

1. Depuis combien de temps pratiquez-vous le duathlon?

J’ai initialement découvert ce sport vers la fin des années 80, donc il y a 23 ans, alors que le triathlon et le duathlon prenaient leur essor au Québec. Après une longue pause, j’ai repris le duathlon de façon assidue en 2009, soit depuis 3 ans.

 

2. Pourquoi avez-vous commencé à faire ce sport?

En 2009, c’était principalement pour retrouver la forme et pour me préparer à un retour au triathlon. J’ai un faible pour le duathlon, alors je continue à pratiquer cette discipline qui est, à mon avis plus difficile que le triathlon sur la plan physiologique. La sensation de repousser ses limites, pour ne pas dire la sensation de douleur, est à son comble lors du deuxième segment de course à pied.

 

3. Est-ce que c’est votre première participation aux championnats mondiaux de duathlon?

Les Championnats Mondiaux de Nancy seront ma deuxième expérience, la première étant celle des Mondiaux de Gijón en 2011.

 

4. Quels sont vos objectifs pour les championnats mondiaux de duathlon 2012?

Et bien, cette année, j’aimerais d’abord et avant tout mettre le « focus » sur ce que je peux contrôler, soit exécuter mon plan de course à la perfection, afin de sortir le meilleur de moi-même. Je veux finir la course et savoir que je n’aurai rien laissé sur la table. Je ne connais pas les autres concurrents et je ne sais pas ce dont ils seront capables. Donc, pour ce qui est des résultats, c’est un peu difficile à prévoir. Un top 10? Un podium? Tout est possible! 

 

5. Quels sports ou quelles activités pratiquiez-vous avant de faire du duathlon?

La liste est un peu longue… Étant jeune, je pratiquais de façon compétitive l’escrime et l’aviron, et de façon récréative, le vélo de randonnée et le ski de fond. Je me suis ensuite consacré pendant plusieurs années au Pentathlon militaire pendant que j’étais membre de l’équipe de l’Armée Canadienne. Le triathlon et le duathlon me servaient de “cross-training”. Je me suis aussi adonné à la course à pied sur route dans les dernières années. J’aime bien me tester sur différentes distances durant l’année, soit  le marathon, demi-marathon, 10 et 5 km.

 

6. Épreuve préférée parmi les 2 sports:

Le duathlon pour moi est un sport entier dans lequel on ne peut dissocier les épreuves. Elles sont soudées par des transitions qui font de cette discipline une expérience entière et unique. Je n’approche pas une portion de course à pied de duathlon de la même façon qu’une course sur route de 10 km. Il en va de même pour le vélo. C’est cette complexité que j’affectionne, et la joie de faire les deux ensembles. Mais ce qui est encore plus précieux, c’est le mode de vie que je dois adopter en dehors des courses pour m’y préparer. Un style de vie qui vaut tout l’or du monde!

 

7. Nombre d’heures d’entraînement par semaine :

Entre 6 et 20 heures par semaine, dépendant des cycles d’entraînement.

 

8. Qu’est-ce qui est le plus difficile dans une compétition de duathlon?

Quand on le fait à fond, je crois que le plus difficile est le choc et la violence des transitions. Les jambes sont toujours sollicitées dans les trois segments de l’épreuve, mais de façon très différente. Ce n’est pas comme un triathlon, il faut le vivre pour comprendre et je vous mets au défi de l’essayer si ce n’est déjà fait!

 

9. Où allez-vous chercher la motivation pour faire ce genre d’entraînement?

J’ai plusieurs sources de motivation. La principale serait par souci de santé pour être là encore longtemps pour mes deux filles. Cela me motive aussi de les voir adopter des comportements semblables aux miens. Bien manger, aimer bouger, être actives, s’accomplir à travers leur sport. Lors de passage un peu plus difficile, je me remémore la chance que j’ai de pouvoir être en vie et surtout en santé contrairement à d’autres qui se battent contre la maladie ou ceux qui nous ont quitté. Vivre pleinement, parce qu’on le peut! La personne qui m’inspire le plus est sans contredit Pierre Lavoie et son message que je tente le plus possible d’appliquer.   

 

10. Prévoyez-vous participer aux championnats mondiaux de duathlon qui auront lieu à Ottawa en 2013?

Oui je veux prendre part à ce grand rendez-vous. J’espère que notre contingent sera nombreux et de qualité afin que l’on soit bien représenté, ici chez nous!


Cette année, les championnats du monde de duathlon auront lieu en terre française, à Nancy, les 22 et 23 septembre 2012.

Rappelons que le duathlon est sanctionné par l’Union internationale de Triathlon (ITU) et au Québec par Triathlon Québec. Il compte de nombreux adeptes au Québec et à travers le monde. Le duathlon combine la course à pied, le vélo et à nouveau la course à pied. La distance de référence à ces mondiaux est, dans l’ordre, 10 km de course, 40km de vélo et 5 km de course. La gestion de course est différente de celle d’une épreuve de triathlon à cause, notamment, des sensations d’enchaînement du vélo après une première course à pied. Le dernier 5 km reste aussi un défi de taille si on veut le courir vite. Pour ceux dont les forces sont davantage orientées vers le vélo et la course à pied et qui veulent se distinguer avec de meilleures performances, pour ceux dont la natation reste un « talon d’Achille » et que les vagues ou les requins poursuivent sans arrêt, pour ceux qui sont blessés à l’épaule ou pour bien d’autres raison, le duathlon reste une pratique résolument « triathlonnienne ». Le duathlon, c’est aussi pour quelques-uns une première étape vers le premier triathlon et il offre toujours un défi de taille et reste très compétitif.

Nous vous présentons une série de portraits réalisés par notre championne, triathlète et duathlète, Peggy Labonté. Portraits qui mettent en perspective les adeptes d’une pratique qui roule souvent dans l’ombre et qu’il nous fait plaisir de mettre en lumière.

Nom : Marie-Michèle Paré

Âge : 34

Catégorie: Groupe d’âge

Club: Aucun pour le moment, mais Mathieu Sauvé de Peak Centre Performance a été mon entraîneur l’an dernier.

Occupation : Médecin vétérinaire

 

1. Depuis combien de temps pratiquez-vous le duathlon? Premier duathlon (Do-A-Du!) en juillet 2009, donc 3 ans.

 

2. Pourquoi avez-vous commencé à faire ce sport? Mon conjoint pratiquait le duathlon et m’a incité à essayer.  Une seule course et j’avais la piqûre!

 

 

3. Est-ce que c’est votre première participation aux championnats mondiaux de duathlon? Nancy sera ma deuxième participation aux championnats du monde.  Ma première a été à Gijon en Espagne en 2011. Une expérience mémorable!

 

4. Quels sont vos objectifs pour les championnats mondiaux de duathlon 2012? Améliorer ma position par rapport aux mondiaux de 2011.  J’espère un « top 10 » dans ma catégorie d’âge et terminer première canadienne.

 

5. Quels sports ou quelles activités pratiquiez-vous avant de faire du duathlon? Avant mon premier duathlon, je ne faisais pas de sports compétitifs, je pratiquais de façon récréative le vélo de route et faisait un peu de course à pied.  Je faisais et fais encore un peu de ski de fond.

 

6. Épreuve préférée parmi les 2 sports: Le vélo!!  La course à pied… c’est difficile et ça fait mal! ;0)  J’adore le vélo.  En vélo, je m’amuse et peu importe l’entraînement, je suis toujours prête à faire du vélo.

 

7. Nombre d’heures d’entraînement par semaine : Entre 8 et 12 heures, selon les périodes de l’année.

 

8. Qu’est-ce qui est le plus difficile dans une compétition de duathlon? La première course à pied est toujours le moment le plus difficile pour moi.  Une fois cette étape passée, je commence à m’amuser!  Physiquement, le plus difficile est la transition de la course au vélo…  les premiers kilomètres de vélo sont toujours douloureux du point de vue musculaire.

 

9. Où allez-vous chercher la motivation pour faire ce genre d’entraînement? Le désir de toujours m’améliorer et de pouvoir dire que j’ai tout donné…  que ce soit pour un simple entraînement ou pour une course de grande importance.  La satisfaction est grande quand on dépasse ses propres limites.

 

10. Prévoyez-vous participer aux championnats mondiaux de duathlon qui auront lieu à Ottawa en 2013? Je suis qualifiée pour les mondiaux de 2013… l’avenir dira si j’y serai ou non!


Cette année, les championnats du monde de duathlon auront lieu en terre française, à Nancy, les 22 et 23 septembre 2012.

Rappelons que le duathlon est sanctionné par l’Union internationale de Triathlon (ITU) et au Québec par Triathlon Québec. Il compte de nombreux adeptes au Québec et à travers le monde. Le duathlon combine la course à pied, le vélo et à nouveau la course à pied. La distance de référence à ces mondiaux est, dans l’ordre, 10 km de course, 40km de vélo et 5 km de course. La gestion de course est différente de celle d’une épreuve de triathlon à cause, notamment, des sensations d’enchaînement du vélo après une première course à pied. Le dernier 5 km reste aussi un défi de taille si on veut le courir vite. Pour ceux dont les forces sont davantage orientées vers le vélo et la course à pied et qui veulent se distinguer avec de meilleures performances, pour ceux dont la natation reste un “talon d’Achille” et que les vagues ou les requins poursuivent sans arrêt, pour ceux qui sont blessés à l’épaule ou pour bien d’autres raison, le duathlon reste une pratique résolument “triathlonnienne”. Le duathlon, c’est aussi pour quelques-uns une première étape vers le premier triathlon et il offre toujours un défi de taille et reste très compétitif.

Nous vous présentons une série de portraits réalisés par notre championne, triathlète et duathlète, Peggy Labonté. Portraits qui mettent en perspective les adeptes d’une pratique qui roule souvent dans l’ombre et qu’il nous fait plaisir de mettre en lumière.

Nom : Mathieu Moreau

Âge : 29

Catégorie: Groupe d’âge 25-29

Club: Svartman Coaching

Occupation : Comptable

 

1. Depuis combien de temps pratiquez-vous le duathlon? Environ 5 ans.

 

2. Pourquoi avez-vous commencé à faire ce sport? Cycliste sur route depuis mon tout jeune âge, je commençais à être un peu tanné des risques de chute en compétition.  Alors, j’ai connu le duathlon, qui est plus sécuritaire et qui permet de diversifier davantage l’entrainement.

 

3. Est-ce que c’est votre première participation aux championnats mondiaux de duathlon? Ce sera ma 2e participation aux mondiaux, après ceux de 2009 à Concord en Caroline du Nord.

 

4. Quels sont vos objectifs pour les championnats mondiaux de duathlon 2012? Un top 15 dans mon groupe d’âge serait très satisfaisant.

 

5. Quels sports ou quelles activités pratiquiez-vous avant de faire du duathlon? Tel que mentionné précédemment, j’ai fait de la compétition de vélo de route pendant plusieurs années. J’ai également joué au tennis et fait plusieurs autres sports pour le plaisir.

 

6. Épreuve préférée parmi les 2 sports: Simplement plus à l’aise sur un vélo alors je choisis celle-ci!

 

7. Nombre d’heures d’entraînement par semaine : Environ 10 à 12 heures par semaine.

 

8. Qu’est-ce qui est le plus difficile dans une compétition de duathlon? Étant seul avec nous même, la gestion de l’effort n’est pas toujours évidente, alors il faut bien connaître nos capacités. Également, les fameuses transitions demeurent un défi en soi…il faut les pratiquer beaucoup!

 

9. Où allez-vous chercher la motivation pour faire ce genre d’entraînement? Je m’entraine d’abord pour avoir une bonne condition physique et être en santé. Je sais que le corps humain a de grandes capacités et j’adore le tester continuellement pour repousser ses limites!

 

10. Prévoyez-vous participer aux championnats mondiaux de duathlon qui auront lieu à Ottawa en 2013? Malheureusement non! J’ai été contraint à l’abandon lors des qualifications en raison d’une blessure au tendon d’Achille.


Réservez votre soirée du samedi 3 novembre!!!

Tous les passionnés de Triathlon sont invités. Nous profiterons de cet évènement pour honorer les performances des athlètes et honorer tous les gens qui s’investissent pour notre sport.
La période d’inscription débutera prochainement et de plus amples informations sont à venir.

C’est un rendez-vous à ne pas manquer!!!

Championnats Canadiens juniors et Coupe Panaméricaine Senior

– Par Francis Sarrasin Larochelle –

Le samedi 19 août 2012 se déroulait le Championnat Canadien Junior Élite à Kelowna en Colombie-Britannique.

Les filles ont été les premières à prendre le départ dans les eaux du magnifique Lac Okanagan à 10h AM. Sans surprise, c’est Hillary Willie de Colombie-Britannique qui a rapidement pris les devants dans la portion de natation suivi dans son sillage par Camille Delamarre. Les deux athlètes se sont forgées une avance d’une vingtaine de secondes lors de la portion natation et ont amorcé les vingts kilomètres de vélo seules en tête. Elles ont cependant été rattrapées par un autre duo, celui-ci formé d’Amélie Kretz et de Gabrielle Edwards vers la fin du premier tour de cinq kilomètres. Camille Delamarre n’a cependant pu tenir le rythme et c’est donc un groupe de trois athlètes qui se sont relayées à l’avant de la course. L’écart avec le peloton de chasse formé d’une dizaine d’athlètes dont plusieurs Québécoises, notamment Karol-Ann Roy et Emy Legault, est resté relativement stable et c’est avec 25 secondes d’avance que le trio de tête a entamé la course à pied. Dès le premier kilomètre, Amélie Kretz s’est forgée une bonne avance qu’elle a su conserver pour s’emparer de son premier titre national. Elle signe ainsi sa quatrième victoire en quatre occasions dans la Série Nationale Junior 2012. C’est finalement Gabrielle Edwards qui termine au 2e rang suivi d’une autre Québécoise, Karol-Ann Roy, qui compléte le podium. Emy Legault, Camille Delamarre, Véronique Demers et Elisabeth Boutin ont également terminé dans le top 10 de ce championnat canadien en terminant respectivement 5e, 6e, 8e et 9e rang.

Dans la course des gars, le scénario a été quelque peu différent. Avec 47 gars au départ, on pouvait s’attendre à voir se créer de gros pelotons rapidement dans la course. Alexis Lepage a été le premier athlète sortie de l’eau suivi par une longue file de concurrents qui ont entamé la portion cycliste avec très peu d’écarts les uns entre les autres. La première transition a cependant scindé le groupe et ce sont deux pelotons d’une dizaine d’athlètes qui se sont formés au début du vélo. Malgré un maigre écart de dix secondes, les deux pelotons n’ont fait la jonction qu’après 10 kilomètres. On retrouvait dans ces pelotons un bon contingent de Québécois incluant notamment Francis Lefebvre, Gabriel Legault, Xavier Grenier-Talavera et Alexis Lepage. Au début du dernier tour de vélo, une échappée constituée de Gabriel Legault et Reid Burrows ont pris une dizaine de secondes d’avance sur le peloton de tête. Ce dernier, qui a maintenu un rythme très soutenu du début à la fin du vélo, est entré avec 2 minutes d’avance sur le peloton de chasse. Dès la sortie de la deuxième transition, Francis Lefebvre a imposé un rythme effrené et s’est détaché des autres coureurs de son peloton pour ensuite rattraper Gabriel Legault. Toutefois, une crampe l’a empêché de poursuivre son effort et le Manitobain Tyler Mislawchuck s’est emparé de la tête après trois kilomètres pour finalement l’emporter. Alexis Lepage termine une dizaine de secondes derrière et Xavier Grenier-Talavera complète le podium. Gabriel Legault, Francis Lefebvre, Philippe Tremblay, Philippe Vézina et Jeremy Briand terminent quant à eux 4e, 6e, 7e, 9e et 10e. Au classement cumulatif de la série, c’est Tyler Mislawchuck qui est couronné champion devant Alexis Lepage et Francis Lefebvre.

 

Enfin, avec deux doublés, 6 filles et 7 gars dans le top 10 dans ce championnat national, la délégation junior québécoise a confirmé sa domination sur les autres provinces pour la saison 2012 ! Cela complète la saison pour la plupart des athlètes à l’exception d’Amélie Kretz qui participera aux Championnats du Monde junior à la fin du mois d’octobre en Nouvelle-Zélande. D’autres Québécois, notamment Alexis Lepage et Francis Lefebvre, ont de bonnes chances d’être sélectionnés au cours des prochains jours.

Montréal, 25 août 2012 (Sportcom) – Kathy Tremblay a pris le 30e rang au triathlon sprint de Stockholm, samedi, comptant pour le circuit de la Série mondiale de triathlon. À sa première course depuis les Jeux olympiques de Londres, l’athlète de Pincourt a arrêté le chrono à 1 h 3 min 16 s après avoir enchaîné 750 m de natation, 20 km de vélo et 5 km de course à pied.

Lauren Campbell (1 h 02 min 56 s) a été la meilleure représentante canadienne en terminant au 26e rang, alors que Manon Létourneau (1 h 4 min 02 s), de Lévis, a terminé 41e.

La favorite locale et nouvelle vice-championne olympique, Lisa Norden, a ravi la foule massée en bordure du palais royal pour remporter l’épreuve en un temps de 1 h 00 min 36 s. Maaike Caelers (Pays-Bas, à 9 s) et Barbara Riveros-Diaz (Chili, à 19 s) ont complété le podium.

Pour Tremblay, qui a chuté à ses deux dernières compétitions (ndlr : à la Série mondiale de San Diego et aux Jeux olympiques), terminer l’épreuve est une satisfaction en soi.

« Les deux fois où je suis tombée, ce n’était pas mon erreur. Je ne pouvais pas terminer ma saison avec une course où j’abandonne. C’est comme si j’avais remis un devoir à l’école et qu’il manquait la conclusion, a-t-elle expliqué. J’ai été bien positionnée à vélo et j’ai fait une bonne course à pied. C’était peut-être ma dernière course cette saison et je l’ai terminée avec un sourire étampé dans le visage. Je suis vraiment satisfaite! »

Avant même le coup d’envoi de l’épreuve, l’athlète de 30 ans avait des craintes à propos du parcours.

« J’avais peur, car le parcours de vélo est un des plus dangereux que j’ai vus dans toute ma carrière. Sous le tapis de la zone de transition, qui était en pente, il y avait des pavés, alors c’était très glissant. Heureusement, la pluie annoncée n’est pas tombée », a précisé celle qui a pris soin de mettre moins d’air dans ses pneus afin d’avoir une meilleure adhérence sur l’asphalte.

Tremblay ignore s’il s’agissait de sa dernière course cette saison ou même de sa carrière. Pour l’instant, elle a plutôt la tête à son mariage qu’elle célébrera le week-end prochain.

« Si on veut performer en Série mondiale, il faut vraiment être à 100%. Par contre, j’avais vraiment envie d’être ici et il fallait que je finisse une course! C’est mon corps, ma tête et mon cœur qui vont décider lorsque le moment sera venu pour moi d’arrêter », a-t-elle conclu.

Par Francis Sarrasin Larochelle, Entraîneur Chef du Rouge et Or et membre du CA de Triathlon Québec

Cette année encore, le Championnat Canadien Juniors se tiendra à Kelowna tandis que du côté senior, il s’agira d’une Coupe Panaméricaine ITU. Pour les athlètes Québécois, il s’agit d’une compétition de très grande importance, voire le peak de l’année pour certain(e)s. Pour les juniors, elle déterminera le classement cumulatif de la série national junior en plus évidemment du titre de Champion(ne) national ! Pour les seniors, c’est une autre occasion de faire des points ITU et d’améliorer leur classement dans la hiérarchie mondiale afin de pouvoir participer à des Coupes du monde par la suite.

Rappellons d’abord les faits saillants de nos Québécois en 2011… Chez les garçons, Francis Lefebvre s’était fait couronner champion canadien tout juste devant Gabriel Legault qui avait terminé deuxième. Le manito-québécois Charles Brault avait quant à lui terminé 5e, alors que Philippe Tremblay, Charles Khazoom, Philippe Deschamps et Antoine Jolicoeur Desroches avait respectivement terminé 6e, 7e, 9e et 10e ce qui confirmait une domination du Québec sur la scène nationale junior. Chez les filles, le meilleur résultat avait été celui d’Amélie Kretz qui a pris le 6e rang tandis que Karol-Ann Roy avait terminé en 9e position. Chez les seniors, Yanik Leduc avait réalisé un très solide performance en terminant 9e de la Coupe Panaméricaine et 4e parmi les Canadiens. Du côté féminin, Mireille Rodrigue avait elle aussi terminé 9e et 5e chez les Canadiennes, une très belle course pour elle également. Voir résultats 2011 ici : https://www.appletriathlon.com/results-2011.php

Pour cette édition 2012, les attentes de nos athlètes seront tout aussi élevées, voire davantage. Du côté féminin, Amélie Kretz sera particulièrement à surveiller, elle qui connait une excellente saison et qui a remporté les trois premières manches de la Série Nationale Junior à Saskatoon, Magog et Ottawa. Elle a également pris le 5e rang des Championnat Panaméricains Juniors à Edmonton en dépit d’une chute à vélo. Emy Legault et Camille Delamarre, qui en sont à leur première saison chez les juniors, seront des prétendantes au podium, elles qui ont terminées déjà 3e à Ottawa et Magog respectivement. Karol-Ann Roy, Sarah Francoeur, Véronique Demers et Elisabeth Boutin complètent en force la délégation québécoise. Du côté masculin, une chaude lutte est à prévoir pour le titre national notamment entre Francis Lefebvre, Alexis Lepage et Tyler Mislawchuck qui ont chacun gagné une course de la série nationale cette saison. Deux autres Québécois, Gabriel Legault et Xavier Grenier Talavera, seront d’autres prétendants au podium. Parmi les autres athlètes québécois juniors, tous ont la possibilité de viser un top 10 puisque la grande majorité d’entre eux l’ont déjà fait cette saison. Jeremy Briand, Charles Khazoom, Charles Brault, Philippe Tremblay, Philippe Vezina, Antoine Jolicoeur-Desroches, Maxime Labarre, Simon Delisle sont tous des athlètes qui seront à surveiller samedi. La délégation québécoise junior affiche certainement sa plus grande profondeur depuis de nombreuses années.

Du côté senior, Mireille Rodrigue et Isabelle Rouleau seront les représentantes féminines tandis que Marc-Antoine Christin et Yanik Leduc prendront le départ chez les hommes. Le défi sera d’autant plus exigeants pour ces athlètes que les courses sont en après-midi et que la météo annonce des températures dans les 35 degrés. Le parcours coteux de vélo rajoutera aussi un challenge à ces athlètes qui seront à suivre dimanche !

Texte de Peggy Labonté plus bas.

Dimanche 12 aout avait lieu la 15ème édition du Triathlon de Verdun Desjardins sous une belle température avec près de 700 paticipants et une organisation bien huilée. En plus d’être un championnat provincial, avec une coupe du Québec pour le Triathlon Sprint, il y avait les épreuves U15 élites & U17 élites, le Triathlon Sprint, le Duathlon et les U15 & U13.

L’épreuve Triathlon Sprint permettait également aux athlètes de se qualifier pour les championnats du monde ITU 2013 qui se dérouleront à Londres (Royaume-Uni) à Hyde Parc sur le parcours des JO 2012. Pour plus d’informations : https://triathloncanada.com/fr/page.ch2?uid=20124.

Dès 8 heures, une belle foule est venue encourager les sportifs de tout âge et de tout niveau qui ont profité d’une matiné ensoleillé. Le départ s’est donné dans le fleuve Saint Laurent avec une température de 21 degrés (wetsuit non permis pour les élites).

—-

Texte de Peggy Labonté

Triathlon de Verdun, dimanche 12 août 2012

Alors que Météo Média annonçait une journée sous les nuages pour le Triathlon de Verdun, c’est le soleil qui s’est montré le bout du nez.  Dimanche le 12 août, 700 athlètes se sont déliés les jambes à la 15e édition du Triathlon de Verdun.

Ce triathlon a la particularité d’offrir la nage en piscine pour les plus jeunes ou les débutants, alors que les autres peuvent profiter de la nage en eau libre dans le fleuve St-Laurent.  Dans les éditions passées, le trajet de nage se résumait en une boucle de 750 mètres pour le triathlon sprint.  Par contre, cette année, les nageurs devaient faire 2 boucles, car le niveau de l’eau était trop bas pour partir du quai.  Selon les participants au sprint, il s’agissait d’un bon défi avec un niveau d’athlètes relevé.

Le segment vélo se passait sur le boulevard Lasalle.  Il fallait rester concentré puisqu’il y avait de l’action!   Les cyclistes devaient effectuer un certain nombre de boucles.  En duathlon et en triathlon sprint, par exemple, il fallait s’assurer de bien compter ses 5 tours.  L’odomètre est toujours de mise avec ce genre de parcours.
La partie course à pied sur la piste cyclable semble avoir été l’épreuve la plus appréciée de tous.  Le trajet était plat et rapide, les points d’eau étaient fréquents et les allers retours permettaient de se situer par rapport aux autres compétiteurs.  Ces 3 épreuves étaient couronnées  par un repas du Marché Tondreau, une remise des médailles et de nombreux prix de présence.  D’ailleurs, Cycle technique a offert 2 vélos au hasard parmi les participants.  Quelle générosité de la part de cette boutique vélo!
Voici quelques résultats du Triathlon de Verdun 2012 :

Coupe du Québec – Triathlon Sprint

Positions Hommes Femmes
1ère David Tardif Isabelle Pelland
2e Matthieu Herbet Caroline St-Pierre
3e Marc Laroche Jessica Murphy

 

Coupe du Québec – Duathlon Sprint

Positions Hommes Femmes
1ère Jonathan Tremblay Marie-Michèle Paré
2e Frédéric Chenard Peggy Labonté
3e François Lefebvre Sylvie Charest

 

U17 Élites

Positions Hommes Femmes
1ère Xavier Grenier-Talavera Elisabeth Boutin
2e Nicolas Gilbert Veronique Demers
3e Étienne Bolduc Emy Legault

 

U15 Élites

Positions Hommes Femmes
1ère Tristan Lalumière-Roberge Annie-Kim Labarre
2e Louis-Simon Guay Laurence Dumais
3e Alexandre Gignac Marika Plourde-Couture

Pour plus de résultats et détails, visitez : www.sportstats.ca
Avant de conclure, l’organisation du Triathlon de Verdun a accompli un super travail lors de cette 15e édition.  Les épreuves se succédaient sans anicroche majeur,  la bonne humeur semblait contagieuse et même les enfants y ont trouvé leur compte.  Cette belle journée est sûrement due, en partie, au Club des Antilopes, Les Rapides, aux bénévoles et aux nombreux spectateurs qui ont donné volontiers sans compter.  Grâce à cet événement, plusieurs triathlètes se sont classés pour les Championnats du monde ITU (par groupe d’âge) qui auront lieu à Londres en septembre 2013.  Ces triathlètes auront le privilège de performer sur le même parcours des jeux olympiques d’été 2012.  Ils pourront s’imaginer dans la peau de grands champions comme Simon Whitfield ou Kathy Tremblay…
Pour conclure, félicitation à chaque participant du Triathlon de Verdun!  L’important n’est pas tant dans le résultat obtenu que dans le plaisir de s’être entraîné et dépassé pour atteindre un but.  Comme le disait si bien Confucius : « Tous les hommes pensent que le bonheur se trouve au sommet de la montagne, alors qu’il réside dans la façon de la gravir. »
Par Peggy Labonté
Site : www3.bell.net/pegpeg30