Drummondville était l’hôte de la deuxième étape de la Série Grand Prix ainsi que de la Coupe du Québec, ce week-end lors du Triathlon Labranche Transport de Drummondville.

Les deux séries étaient présentées sous format spécial, avec des qualifications contre-la-montre sur distance sprint et des finales à 8 sur distance super sprint.

Jeremy Briand et Noémie Beaulieu ont livré de superbes performances pour s’emparer de la plus haute marche du podium des athlètes élites de la Série Grand Prix.

Podium de la Série Grand Prix – Femmes

  1. Noémie Beaulieu
  2. Elisabeth Boutin
  3. Alexandrine Coursol

Podium de la Série Grand Prix – Hommes

  1. Jérémy Briand
  2. Thomas Windisch
  3. Filip Mainville

En ce qui concerne la Coupe Québec chez les groupes d’âge,Antoine Poirier et Isabelle Gagnon ont monté sur la plus haute marche du podium.

Podium de la Coupe Québec – hommes

  1. Antoine Poirier
  2. Paul Lavoie
  3. Mathis Larochelle

Podium de la Coupe Québec – femmes

  1. Isabelle Gagnon
  2. Catherine Vaillancourt
  3. Laura Lachance

Félicitations à tous les athlètes qui ont participé à l’événement ainsi qu’à l’organisation du Triathlon Labranche Transport de Drummondville.

Alexis Lepage et Amélie Kretz ont tous deux fini près des 10 meilleurs de leur épreuve lors de la Coupe du monde de triathlon, dimanche, malgré la chaleur suffocante qui régnait sur la ville mexicaine de Huatulco.

Chez les hommes, le Canadien Tyler Mislawchuk a remporté la compétition sur distance sprint avec un chrono de 55 min 4 s. L’Américain Morgan Pearson (+7 secondes) a mis la main sur l’argent alors que le Brésilien Manoel Messias (+15 secondes) a récolté le bronze.

Le Québécois Alexis Lepage a franchi la ligne d’arrivée en 55 min 38 s à 34 secondes du vainqueur.

« C’était assez chaud avec beaucoup d’humidité et des conditions qui ressemblent à Tokyo. Ça s’est super bien passé tout au long de ma course, sauf le dernier kilomètre où je commençais vraiment à avoir très chaud, même très, très chaud. J’ai été distancé du peloton de six ou sept coureurs qui se battaient pour la cinquième et sixième place. Je suis très satisfait d’avoir bien réussi à performer dans ces conditions difficiles », a dit le 11e du classement général.

Le Québécois Charles Paquet figure quant à lui au 40e rang avec un temps de 57 min 44 s. Les Canadiens Matthew Sharpe (6e), Michael Lori (22e), Martin Sobey (24e), John Rasmussen (32e), Alexander Hinton (52e) et Taylor Forbes (DNF) ont participé à la course.

« Nous avions tous la même stratégie qui était de rester à l’avant pour éviter les chutes et d’être bien placé parmi les premiers pour les parties plus techniques. Nous nous sommes un peu entraidés entre guillemets, mais nous n’avions pas une stratégie de groupe », a ajouté Lepage, 25 ans.

La chaleur accable Kretz

Du côté féminin, Amélie Kretz, de Sainte-Thérèse, a obtenu le meilleur résultat du pays avec une 12e place et un temps de 1 h 1 min 54 s. La Lavalloise Karol-Ann Roy (1 h 5 min 16 s) pointe quant à elle au 32e échelon.

« Je ne suis pas satisfaite, mais il y a du positif. C’était des conditions très difficiles. L’eau à 30 degrés et l’air à plus de 35 degrés. Mon but était de garder ma température corporelle la plus basse possible et le plus longtemps possible », a expliqué Kretz.

L’athlète de 26 ans a pédalé dans le premier groupe de vélo et est restée prudente à l’avant pour éviter les chutes. Toutefois, à la course à pied, la chaleur était difficile à supporter.

« J’ai eu très chaud! Mes jambes sont revenues sur le deuxième tour, mais j’étais déjà un peu trop loin. Il y a du positif, mais j’ai encore beaucoup de travail à faire pour revenir avec les meilleures. C’est bien excitant! »

Le podium a été composé de l’Américaine Summer Rappaport (1 h 0 min 56 s), de la Russe Alexandra Razarenova (1 h 1 min 5 s) et de l’Autrichienne Lisa Perterer (1 h 1 min 18 s).

L’équipe canadienne s’envolera maintenant vers les Séries mondiales de relais mixte à Nottingham, en Grande-Bretagne, qui auront lieu samedi prochain. Cette épreuve figurera d’ailleurs pour la première fois au programme olympique aux Jeux de Tokyo 2020. Les athlètes du pays poursuivent donc le processus de qualification étalé sur deux ans.

« Nous devons accumuler des points à environ cinq compétitions par année et terminer dans le top-14 des pays (à la fin du processus) », a expliqué Alexis Lepage.

Pour la qualification individuelle, le principe est le même. « Nous avons 12 courses de Coupes du monde et Coupes WTS sur deux années qui sont prises en considération. La première année de qualification est terminée. Jusqu’à maintenant, pour la deuxième année, qui se terminera en mai 2020, j’ai un moyen résultat et un très bon. Il me reste encore beaucoup de compétitions à faire pour avoir ma place sur l’équipe », a conclu Lepage.

Quatre québécois seront du départ de la Coupe du Monde de Huatulco au Mexique ce dimanche.

Amélie Kretz et Karol-Ann Roy seront les deux seules canadiennes en lice alors que Charles Paquet et Alexis Lepage seront accompagnés de sept autres canadiens.

La chaleur et l’humidité seront certainement les plus gros défis des athlètes qui s’aligneront sur une distance sprint, dans cette année cruciale de qualification olympique.

Bonne chance à nos athlètes élites!

Le Swimrun à été inventé en Suède au début des années 2000 par quatre amis qui se sont lancé un défi autour d’une bière: parcourir le chemin entre deux hôtels situés sur deux îles différentes.

De cette soirée est né la première édition officielle de l’Ötillö (« Ötillö » signifie d’ailleurs « d’île en île »), à Stockholm en 2006.

Le swimrun mélange la natation en eau libre et la course en sentier, d’un point A au point B. Il n’y a pas de distance préétablie ni zone de transition régulière (comme on le voit en triathlon).

Côté matériel, tout est permis. L’athlète peut mettre sa combinaison hypothermique, utiliser des palmes, palettes, tuba ou autre, mais doit transporter avec lui son équipement du début à la fin.

La stratégie est donc de mise pour cette épreuve hors-norme.

Québec sera l’hôte, le 16 juin, du Swimrun de Québec. Il s’agît de la quatrième édition de l’événement.

Cette année, les athlètes peuvent participer en solo, en équipe (2 coéquipiers qui se suivent le long du parcours) ou à relais (1 coéquipier pour les épreuves de course et l’autre pour les épreuves de nage).

Au niveau des distances, 3 formats sont prévus:

  • Le format standard est de 20km au total : 16km course + 4km natation + 8 transitions
  • Le format court est de 14km au total : 11km course + 3km natation + 6 transitions
  • Le format découverte est de 7km au total : 6km course + 1km natation + 4 transitions

 

 

Un cross-triathlon consiste à enchainer une épreuve de natation en eau libre, une épreuve de vélo de montagne et une épreuve de course à pied en sentier. Il se pratique hors route sur terrain accidenté. Plusieurs distances sont offertes selon l’âge et le niveau des participants.

Que vous soyez un habitué des courses de sports d’enchaînement ou non, vous êtes invités à venir découvrir ce sport accessible. Avec des distances adaptées, vous pouvez participer à des Cross-Triathlon et Cross-Duathlon en format découvertes (courtes distances) ou en format régulier. Si vous appréciez la montagne, les sentiers en forêt et la nature, les événements de Cross sont pour vous!

De plus en plus d’épreuves s’ajoutent au calendrier de Triathlon Québec. La série la plus connue de cross est sans aucun doute la série XTERRA. Depuis 2014, le XTERRA Québec, présente des épreuves de cross triathlon et cross duathlon en solo où en équipe, en plus de compter pour les qualifications aux mondiaux.

Cette année, la série XTERRA ajoute une épreuve à Bromont (9 juin) et à Québec (14 juillet). L’épreuve de Tremblant sera tenue le 8 septembre.

Ajouter à ces épreuves le Cross triathlon/Swimrun de Québec (16 juin) et le Cross triathlon Défi Camp De-La-Salle (14 septembre) et vous obtenez un calendrier cross des plus intéressants.

2019 s’annonce pour être une année historique en cross, au Québec. VIENS T’AMUSER!

VICTORIA—Sarah-Anne Brault, l’une des triathlètes olympiques les plus respectées au Canada, continuera de façonner l’avenir de Triathlon Canada tout en siégeant pour deux autres années au conseil d’administration de l’organisme.

Brault, qui a officiellement pris sa retraite après avoir représenté le Canada aux Jeux olympiques d’été de 2016 à Rio et aux Jeux du Commonwealth de Glasgow, ainsi qu’à plusieurs championnats du monde, épreuves de Série mondiale de triathlon et de Coupe du monde, avait été élue représentante des athlètes au conseil d’administration en 2017. Étant donné qu’il s’agit d’un poste avec droit de vote, Triathlon Canada a changé le titre du siège d’athlète au conseil d’administration de huit membres pour celui de directeur des athlètes afin de mieux refléter ce rôle.

« C’est un immense honneur d’avoir l’occasion de faire entendre la voix des athlètes au conseil d’administration pour un autre mandat afin de s’assurer que le leadership de Triathlon Canada est informé et éduqué sur les questions qui sont importantes pour les athlètes d’élite au Canada », a déclaré Brault, qui a été membre de l’équipe nationale pendant 10 ans.

Pour être considérés pour le poste de directeur des athlètes, les candidats doivent avoir fait partie de l’équipe nationale de haute performance de Triathlon Canada, avoir pris leur retraite de toute compétition active de triathlon ou paratriathlon ITU élite pendant 12 mois, ne pas détenir un brevet CCI en vigueur et être disponibles pour assumer leurs fonctions, incluant la participation à cinq réunions annuelles du comité d’administration ainsi que l’assemblée générale annuelle,

Brault était la seule candidate admissible et a confirmé par acclamation sa réélection au poste de directrice des athlètes.

« Au cours des deux dernières années, j’ai acquis une compréhension incroyable des nombreux enjeux et questions auxquels Triathlon Canada est confronté lorsqu’il s’agit du programme de haute performance, sans parler de la gouvernance globale de l’organisation. Du financement aux politiques de sélection et à la désignation des équipes, l’expérience que j’ai acquise m’a donné l’occasion de représenter le groupe d’athlètes tout en prenant des décisions éclairées et objectives dans l’intérêt de faire progresser le triathlon au Canada », a ajouté Brault.

Très performante, tant sur le terrain de jeu qu’en classe, cette athlète de 29 ans qui réside maintenant à Victoria a obtenu un diplôme en finances et en économie de l’Université West Virginia, où elle faisait partie de l’équipe de course cross-country. Elle a par la suite obtenu une maîtrise en finance à l’Université McGill.

Brault a commencé le triathlon en 2006 avant de déménager au Québec, puis en Australie pour les trois dernières années de sa carrière qui a été marquée par cinq résultats parmi les 15 premières au classement de la Série mondiale de triathlon. En plus de s’aligner au départ à Rio, sa meilleure performance en carrière a été une quatrième place à une course de la Série mondiale de triathlon à Auckland, en Nouvelle-Zélande, en 2016.  Brault a également célébré deux podiums en Coupe du monde.

Mme Brault entamera officiellement son deuxième mandat à l’assemblée générale annuelle en septembre.

 

À propos de Sarah-Anne Brault

Sarah-Anne Brault est née à Lévis (Québec), le 1er décembre 1989.

Remplaçante dans l’équipe olympique de 2012 avant ses débuts olympiques en 2016, à Rio, Sarah-Anne Brault a représenté le Canada à trois Championnats du monde juniors de 2006 à 2008 et a été sacrée championne panaméricaine junior en 2008. Elle a remporté sa première victoire internationale chez les seniors en 2011 à une compétition de la Coupe panaméricaine avant de remporter le Championnat panaméricain 2012.

Cette année-là, elle a également fait ses premiers pas à la Série mondiale de triathlon et remporté ses premières médailles en Coupe du monde, soit le bronze à Ishigaki et l’argent à Edmonton. En 2013, elle a rejoint l’équipe nationale, mais une fracture de stress a limité sa capacité à concourir. L’année suivante, elle a inscrit ses meilleurs résultats en carrière à la Série mondiale de triathlon en se classant 4e à Auckland et 7e à Yokohama, avant de participer pour la première fois aux Jeux du Commonwealth.

En 2015, à Auckland, elle s’est encore une fois taillé une place dans le top 10. Tout en poursuivant ses études à l’université West Virginia, Sarah-Anne a concouru en athlétisme en salle et en plein air ainsi qu’en cross-country ; elle a fait partie de la deuxième équipe All-American en 2011. Aux Jeux du Canada en 2005, elle a disputé l’épreuve du 5000 m et elle a terminé à la 2e place.

Ce week-end, les triathlètes se sont donné rendez-vous au Challenge Antoine-Manseau – Triathlon de Joliette, pour la première étape de la Coupe Québec triathlon 2019 et le premier événement de la série Grand Prix.

C’est sous la pluie que s’est déroulée la grande majorité des compétitions.

Notons la victoire de Charles Paquet (suivi sur le podium par Thomas Windisch et Jemery Briand) lors de la Série Grand Prix  chez les hommes. Le podium féminin était constitué de Élisabeth Boutin, Alexandrine Coursol et Noemie Beaulieu.

C’était également la première étape de la Coupe Québec triathlon 2019. Notons aussi que la Coupe Québec U13 et U15 était à l’agenda de la journée.

Le Challenge Antoine-Manseau – Triathlon de Joliette était l’occasion pour les débutants de s’initier à la pratique du triathlon avec un événement D3couverte et des courses d’initiation pour les jeunes.

Quelques semaines de compétition

La saison 2019 avait pris son envol avec le Duathlon Jefo-BJSC de Saint-Hyacinthe (18 mai) et la première étape de la Coupe Québec à Nicolet (18 et 19 mai). La semaine dernière, le Triathlon/Duathlon Nitek Laser de Nicolet présentait la deuxième étape de la Coupe Québec Duathlon.

La saison est bien commencée et plusieurs événements sont à venir! Suivez-nous sur nos différents réseaux sociaux et sur notre site web.

 

L’ITU a rendu disponible cette semaine la liste officielle des athlètes élites qui prendront le départ à Montréal le 29 juin, dans le cadre des Séries mondiales de triathlon ITU.

Quatre athlètes canadiens en font partie, notamment le québécois Alexis Lepage et l’ambassadrice du Triathlon Mondial Groupe Copley, l’athlète ontarienne Joanna Brown. Plusieurs autres canadiens participeront quant à eux à la Coupe continentale de triathlon sprint CAMTRI.

La liste de départ des athlètes qui compétitioneront au Parc Jean-Drapeau dans le cadre des Séries mondiales de paratriathlon ITU est également disponible. Venez les voir performer gratuitement le 28 juin 2019!

TORONTO (le 29 mai 2019) – Triathlon Canada et le Comité olympique canadien ont procédé mercredi à la nomination de six athlètes au sein de l’équipe de triathlon du Canada qui participera aux Jeux panaméricains de Lima 2019.

Trois femmes et trois hommes se sont qualifiés pour participer à leurs premiers Jeux panaméricains au sein d’Équipe Canada sur la base de leur performance à différentes épreuves ce printemps. Puisque les Jeux panaméricains ne servent pas d’épreuves de qualification pour les Jeux olympiques de 2020, Triathlon Canada utilisera ces Jeux multisports comme occasion de développement pour la prochaine vague de jeunes athlètes prometteurs.

Les jeunes Canadiens ont amassé une belle expérience sur la scène internationale, menés par Alexis Lepage de Gatineau au Québec, qui vient de monter sur son premier podium de Coupe du monde, après avoir décroché la médaille de bronze à Chengdu en Chine. L’athlète de 25 ans a aussi représenté le Canada aux Jeux du Commonwealth l’an dernier.

« C’est tellement gratifiant de représenter le Canada à ces autres Jeux multisports et j’ai hâte de vivre une autre grande aventure à Lima », indique Lepage. « Mes récents succès à Chengdu me rendent confiant pour cette course. Notre équipe vise la victoire. Tout peut se produire dans une épreuve de relais et je sais que nous serons prêts à tout donner. »

Lepage sera accompagné par son coéquipier des Jeux du Commonwealth, Desirae Ridenour de Cowichan Bay en Colombie-Britannique, une athlète de 18 ans qui a été sacrée championne continentale junior et triple médaillée d’or aux Jeux d’été du Canada en 2017.

« Je suis très enthousiaste de représenter le Canada à ces autres Jeux. C’est toujours un honneur de porter la feuille d’érable et de compter sur l’appui du pays, affirme Ridenour. Mon expérience aux Jeux du Commonwealth en Australie m’a offert une meilleure compréhension de ce à quoi je peux m’attendre et comment me comporter dans un environnement de Jeux multisports. J’ai vraiment hâte de profiter de cette autre occasion à Lima. »

Quatre autres Canadiens participeront à leurs premiers Jeux multisports sur la scène internationale.

Hannah Henry de Victoria en Colombie-Britannique a été dominante aux Jeux d’été du Canada en 2017 et elle cherchera aussi à faire sa marque au sein d’Équipe Canada. Elle sera accompagnée par Karol Ann Roy de Québec, qui s’est approchée des podiums sur le circuit international de développement.

Charles Paquet de Port-Cartier au Québec tentera aussi d’attirer les regards à Lima. Étoile montante de 21 ans, Paquet a été médaillé d’argent aux Championnats du monde juniors en 2016. Taylor Forbes de Hamilton en Ontario est un triple médaillé des Championnats canadiens qui a représenté le Canada deux fois aux Championnats du monde U23 et il cherchera à ajouter à son expérience à Lima.

Le Canada a décroché neuf médailles au triathlon des Jeux panaméricains depuis 1995. Les deux plus récents podiums sont ceux de l’Olympien Brent McMahon, médaillé d’argent en 2007 et de bronze en 2011. Les deux seules médailles d’or remportées par des triathlètes canadiens aux Jeux panaméricains sont celles de Sharon Donnelly en 1999 et de Jill Savage en 2003.

L’épreuve individuelle de triathlon sera disputée le 27 juillet. Une compétition de relais mixte se déroulera le 29 juillet.

Les Jeux panaméricains de Lima 2019, qui se dérouleront du 26 juillet au 11 août, réuniront environ 6 700 athlètes de 41 nations des Amériques et comprendra 62 disciplines dans 39 sports. Ce sera le plus grand événement sportif jamais organisé au Pérou.

Les athlètes et les entraîneurs nommés sont :

  1. Desirae Ridenour (Cowichan Bay, Colombie-Britannique)
  2. Hannah Henry (Victoria, Colombie-Britannique)
  3. Karol Ann Roy (Laval, Québec)
  4. Alexis Lepage (Gatineau, Québec
  5. Charles Paquet (Port-Cartier, Québec)
  6. Taylor Forbes (Hamilton, Ontario)
  7. Marc-Antoine Christin (Montréal, Québec) – Entraîneur-chef

Avant qu’un(e) athlète soit officiellement nommé(e) au sein d’Équipe Canada, toutes les candidatures doivent être approuvées par le comité de sélection du COC, et ce, une fois que toutes les fédérations sportives nationales ont soumis leurs nominations à la fin juin 2019.

Pas moins de 22 étudiants-athlètes méritants de l’Alliance Sport-Études ont été récompensés d’une bourse de 2500 $, qui a permis de reconnaître l’excellence académique, l’excellence sportive et la persévérance, mercredi, à Lévis.

L’événement a été animé par l’Olympien en ski acrobatique (bosses) et plusieurs fois boursier de la Fondation Sport-Études Philippe Marquis. Au total, pour l’année 2019, la Fondation remettra 121 bourses totalisant un montant record de 200 500 $.

Les récipiendaires ont été choisis parmi les 1350 étudiants-athlètes de l’Alliance Sport-Études provenant de 50 disciplines sportives, inscrits dans 45 collèges et 8 universités. La remise a été possible grâce au soutien de Desjardins, RDS, la Ligue de hockey junior majeur du Québec (LHJMQ), Ameublements Tanguay, Canimex, le Cégep à distance, KPMG, le SRAM et la TÉLUQ.

Nicolas Gilbert, triathlète, fait parti des récipiendaires. Il a remporté le titre de champion canadien longue distance dans sa catégorie à l’automne 2017. Un an plus tard, il a décroché une 14e place à la Coupe continentale ITU de Montréal, et plus récemment, le 21e rang à celle de Richmond. Gilbert étudie en sciences comptables à l’Université du Québec à Trois-Rivières et fera son stage en audit chez le Vérificateur général du Québec l’an prochain.

« Ça fait quatre ans que je cours sur le circuit continental senior. C’est toujours plaisant de bien performer devant sa foule à Montréal et de montrer un niveau de forme constant d’une saison à l’autre. Je sais que ma faiblesse, c’est la natation et je travaille beaucoup sur la tactique en eau libre et la course à pied », a-t-il dit.